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Je m’appelle Margaux Pastor et comme c’est peut-être votre cas, je ne suis pas photographe depuis dix ans. Comme vous peut-être, j’ai décidé de changer de voie et suivre ma passion. J’ai voulu créer ma propre chance sans attendre que quelqu’un veuille bien le faire à ma place.
Je vous propose de voir ensemble quelles possibilités permettent de changer de vie pour devenir photographe. En effet, il vous faudra payer vos factures en attendant de faire fonctionner votre activité. Alors comment gérer la période de transition, en fonction de votre situation ? Voyons ça ensemble.
SI VOUS ETES SANS EMPLOI
Vous êtes en recherche d’emploi et vous voulez en profiter pour essayer de devenir photographe pro. Mais vous avez peur que cela vous prive de vos revenus, RSA ou allocation chômage. Pas de panique :
Si vous êtes au RSA
Le RSA est compatible avec de nombreux statuts (notamment auto-entrepreneur). Son montant dépendra du revenu dégagé par votre activité. Plus votre chiffre d’affaire augmentera, plus le RSA que vous toucherez diminuera. La bonne nouvelle c’est que le RSA ne diminuera pas aussi vite que votre chiffre d’affaire augmentera.
Pour être plus précis, pendant les trois premiers mois après la déclaration de votre activité d’auto-entrepreneur, votre RSA est INTEGRALEMENT maintenu quel que soit le montant de votre chiffre d’affaires (CA). Après, votre CA sera pris en compte pour ajuster le montant de votre RSA. Il sera calculé selon le calcul suivant : (Montant forfaitaire RSA + 62% des revenus d’activité du foyer fiscal) – (Ressources du foyer fiscal et Forfait d’aide au logement). Je sais, c’est un peu compliqué. Pour tout savoir et pour estimer le montant de votre revenu de solidarité active, adressez-vous à la CAF.
Si vous bénéficiez d’une allocation chômage
Vous pouvez cumuler statut auto-entrepreneur (AE) et l’allocation chômage de l’Aide au Retour à l’Emploi (ARE). Pour cela vous devez prévenir obligatoirement Pôle Emploi. Ensuite vous pourrez opter pour l’un des deux dispositifs suivants : le maintien des allocations chômage jusqu’au terme de vos droits OU le versement sous forme de capital (ARCE) de la moitié de vos droits restants.
Dans le premier cas, en cas de maintien de l’ARE jusqu’au terme, vous toucherez vos revenus d’AE plus une quote-part résiduelle de vos allocations, sans que le total des deux ne puisse excéder le salaire moyen sur lequel ont été calculés les droits. Et si un mois, vous faites 0 € de chiffre d’affaires, vous conserverez normalement l’intégralité de son ARE.
Si vous optez pour le versement sous forme de capital (ARCE), c’est simple. Vous toucherez 50% (taux en vigueur en juillet 2014) de vos droits restants aux allocations chômage le jour de la création de l’entreprise. Cela sera versé en deux temps : une première moitié immédiatement et le solde 6 mois plus tard à condition que l’activité soit toujours exercée.
Pour plus d’informations et de précisions, le site « Le coin des entrepreneurs » à écrit un article très complet et explicite : http://www.lecoindesentrepreneurs.fr/auto-entrepreneur-et-chomage-le-cumul/
SI VOUS AVEZ UN EMPLOI
La situation est ici totalement différente. Le but est de ne pas « se lâcher des deux mains ». Il existe plusieurs possibilités qui vous permettent de tenter l’aventure de photographe pro tout en limitant les risques si jamais cela ne marche pas.
Cumuler son emploi et une activité de photographe pro
Si vous êtes salarié, vous pouvez créer votre statut d’auto-entrepeneur (ou micro-entrepreneur, c’est la même chose) à titre complémentaire et cumuler les deux activités. Pour les fonctionnaires, il faudra l’accord de la hiérarchie. Le salarié a quant à lui un devoir de loyauté vis-à-vis de son employeur. Comprenez ici que votre nouvelle activité de photographe ne doit pas entrer en concurrence avec ce dernier. Dans la pratique ça veut dire interdiction d’exercer votre activité AE pendant les heures rémunérées par votre employeur, de démarcher des clients de votre entreprise, de dénigrer les services ou les produits de cette dernière, etc.
Cumuler les deux activités est sans doute la solution la moins risquée mais elle présente quand même des inconvénients. « Petit un », cela va vous demander ENORMEMENT de travail. Préparez vous à être fatigué… en même temps, on a rien sans rien. « Petit deux », vous êtes pénalisé au niveau des cotisations sociales. En tant que salarié, vous payez des charges sociales. Mais vous êtes également AE et à ce titre, vous payez aussi des charges sociales relatives à cette activité. Problème : vous avez déjà la couverture sociale de votre activité de salarié. Cela vient du fait que AE et salariat relèvent de deux régimes distincts.
L’année sabbatique
Vous pouvez prendre une année sabbatique pour monter votre petite entreprise et voir, sans prendre trop de risques, si votre activité fonctionne. Bien sur, votre employeur peut refuser. Mais s’il accepte, et dans le cas où votre activité de photographe ne prendrait pas, vous aurez toujours la possibilité de revenir à votre emploi précédent. Pour y avoir droit, vous devez cumuler 36 mois d’ancienneté et 6 années sans avoir bénéficié d’un congé pour formation ou création d’entreprise. Il peut durer entre 6 et 11 mois. Pour tout savoir sur le congé sabbatique vous pouvez consulter ce site : http://travail-emploi.gouv.fr/informations-pratiques,89/les-fiches-pratiques-du-droit-du,91/conges-et-absences-du-salarie,114/le-conge-sabbatique,1042.html
Le congé création ou reprise d’entreprise
Vous pouvez le demander si vous êtes salarié depuis au moins 24 mois dans votre entreprise actuelle. Le salarié peut, sous certaines conditions, prendre un congé pour créer son entreprise ou en reprendre une. Dans ce dernier cas, vous devez faire partie de ses dirigeants. Votre contrat de travail est maintenu (mais votre employeur n’est pas tenu de vous rémunérer), c’est un congé de longue durée. Sa durée 1 an maximum, avec prolongation possible d’un an au plus. A la fin, vous pouvez soit réintégrer votre entreprise soit rompre votre contrat pour rester à votre compte. Sachez que vous pouvez aussi bénéficier de ce dispositif à temps partiel. Pour tout savoir sur le congé pour création d’entreprise vous pouvez consulter ce site : http://travail-emploi.gouv.fr/informations-pratiques,89/les-fiches-pratiques-du-droit-du,91/creation-d-entreprise,128/le-conge-pour-creation-ou-reprise,1169.html
Vous trouverez à cette adresse internet un tableau récapitulatif qui regroupe toutes les infos : http://www.apce.com/pid901/conge-creation.htmlC=173&espace=1
PRENEZ QUELQUES PRECAUTIONS…
Commencer une carrière de photographe demande quelques investissements, même si vous avez déjà un peu de matériel. Entre l’appareil, les optiques, l’ordinateur, le site internet, Lightroom, Photoshop, le trépied, les assurances : vous aurez besoin d’un peu de liquidités, ou de personnes qui veulent bien investir en vous (comme ma gentille grand-mère qui l’a fait pour moi par exemple), ou d’un banquier sympa (mais c’est plus rare).
En étant indépendant, vous ne cotiserez pas pour le chômage. Cela signifie que si les temps sont difficiles et que vous souhaitez arrêter, quel que soit les montants engrangés par le passé, vous ne toucherez pas d’indemnités chômage.
Enfin, il faudra faire très attention à toute la paperasse et l’administratif par vous-même. Et c’est loin d’être facile, croyez-moi.
J’espère que cet article vous a aidé à entrevoir les moyens de quitter votre ancienne vie. Dans une prochaine vidéo, nous verrons en détail comment devenir auto-entrepreneur et ce que cela signifie en pratique.
Bonjour Margaux ,
Je souhaite me reconvertir dans la photographie . C’est ma seule passion depuis petite.
Quelle formation as-tu fait pour y arriver ?
Dois-je avoir un diplôme spécifique ?
Merci pour ton aide .
Sophia
Bonjour,
Je suis actuellement salarié en comptabilité (rien à voir !) et je voudrais savoir si il existe des formations prise en chareg pour devenir photographe en auto entrepreneur en complément au début de mon activité salariée ?
Cdlt
Clélia
Bonjour,
Depuis plusieurs mois j’ai envie de me lancer davantage dans la photographie. Je fais de la photos de particuliers depuis 2013 mais recemment j’ai eu envie de m’intéresser aux entreprises et aux évènements tels que les mariages. Cependant, pour pouvoir facturer légalement, il faut que j’ai un statut et un numéro SIRET. J’ai donc pensé à devenir auto entrepreneuse… Mais en me renseignant au CMA j’ai appris que je suis considérée comme un « artisan » et que je dois donc faire un stage de gestion de 30h pour la somme de 300€ avant d’obtenir le statut. Sachant que 300€ est loin de la somme que je gagnerai chaque mois. Je suis étudiante donc je fais essentiellement des photos en vacances ou le weekend. Je ne souhaite pas en vivre, mais je souhaite cependant être payé pour mon travail (ce qui est normal)… Donc je me demandais si il n’existait pas un autre statut me permettant de faire la photos et d’être payé ? Je fais aussi du montage vidéo et c’est le même problème…
En résumé, je cherche un statut facile d’accès me permettant de faire du « freelance » sans payer quoi que ce soit. Je trouve ça abérant que depuis 2014 les photographes soient obligés de faire cette formation de 30h pour avoir le statut d’auto entrepreneur… Sachant que les commerciaux, producteurs et autres n’ont pas à le faire :/ J’espère qu’on pourra m’aider.
La photo est une véritable passion.
salut et merci de ce blog de soutien instructif
je suis salarié (prof) et autoentrepreneur consultant audiovisuel et je me demande si je peux faire des photos de mariage, c’est assez compliqué de trouver des clients mais en plus se casser la tete et etre juriste avocat comptable et j’en passe ce monde de paperasses, je me demande quel code APE faut il , car on peut il me semble en tant qu’autoentrepeneur en activité accessoire rajouter des activités a l’ursaf
merci d’avance
Bonjour, moi je suis étudiante (par correspondance) dans le domaine des arts appliqués, je souhaite finalement être photographe, j’ai déjà acheté une bonne partie du matériel nécessaire. Je n’ai ni job, ni RSA, ni chômage (je vis chez mes parents). Je vais bientôt envoyer mes photos à des agences/magazines. Mais justement je ne sais pas quel statut je dois adopter ni comment…
Bonjour, je ne suis pas photographe pro, mais on me demande de vendre certains de mes clichés. Comment faire pour être en règle ?
Bonjour cette page est genial! Mais je voudrai savoir une chose :
Quelle sont les risques du metier ?
Bonjour à tous,
Etant une adepte d’Objectif Photographe depuis près d’un an, je viens de retomber sur cette page et notamment sur les commentaires. Je voulais juste en profiter pour donner mon avis sur le fait de se lancer. De mon côté, j’ai pris tout d’abord 1 an pour me former. Autodidacte et passionnée c’est bien mais il était hors de question pour moi de me lancer sans avoir de formations. J’en ai déjà fait 3 dont 2 avec Objectif Photographe (Qualité exceptionnelle, Bravo pour les explications simples, claires !). J’ai une autre formation physique de 4 jours en Janvier et il me tarde déjà ! J’ai essayé de suivre tous les conseils donnés tant dans la technique que dans l’appropriation des prix, de la spécialisation…Bref, j’essaie de mettre toutes les chances de mon côté. Je suis maman de 3 enfants donc pour l’instant, j’ai pris l’option de conserver mon activité et de me mettre auto entrepreneur en parallèle encore pour un an. Si je résume, la première année je me suis formée et j’ai créé mon site (seul alors que je n’y connaissais rien du tout mais je voulais garder mes sous pour m’acheter de jolis cailloux, j’ai donc fait des choix de patron ;), depuis fin août, j’ai commencé à proposer mes services gratuitement contre droits de publication (comme conseillé sur ce site ;), et ce afin de pouvoir montrer mon travail, ensuite j’ai lancé mes 1er flyers et je me suis inscrite en tant qu’auto entrepreneur fin novembre. En décembre j’ai fait 4 contrats et j’ai 5 réservations pour 2016. Alors bien sûr, je ne veux surtout pas crier victoire trop vite et peut être que je redescendrai de mon nuage mais je pense que notre univers photographique est notre 1er atout mais il ne doit pas être le seul. Se lancer, demande beaucoup d’investissement personnel mais comme n’importe quel patron d’entreprise…certaines boites fonctionnent d’autres pas…Il faut choisir son concept, la qualité de ses produits (cela passe par les formations), les fournisseurs, il faut démarcher aux bons endroits (le plus dur pour moi!), il faut être commercial et bien calculer ses marges….Bref, cela ne marche pas pour tous mais si cela ne marche pas ce n’est pas que les gens ne veulent plus payer c’est que notre produit, notre concept, notre cible client n’est pas la bonne….Un chef d’entreprise doit constamment se remettre en question et se tenir au courant de tout ce qui se fait….Un bon Photographe, c’est la même chose…Etre bon, n’est pas suffisant, il faut travailler dur…. J’espère de tout coeur que mon acharnement me permettra dans un an de voler de mes propres ailes et de quitter définitivement mon job actuel…Et si ce n’est pas le cas, je sais déjà que je ne me dirais pas que les clients ne paient plus et qu’ils préfèrent choisir Tatie Photographe pour leurs séances nouveaux Nés mais tout simplement que je n’ai pas su offrir aux gens ceux qu’ils attendaient….Bonne chance à tous et travaillez dur !!
Bonjour. Je suis Richard DANSOU, béninois. Je travaille à la Banque mais parallement je pratique la photo. Ce n’est pas facile de mener les deux à bout mais je tiens le coup car la photo est ma passion et je compte passer vraiment en pro.
J’aimerai apporter mon expérience, pour toutceux qui sont plus ou moins frileux pour se lancer en indépendant. C’est vrai qu’en indépendant vous n’avez pas droit au chomage en cas de cessation d’activité, et vous devez gérer votre petite affiare vous même. Quand on y connait pas grand chose en gestion cela devient compliqué.
Il y a pourtant une autre formule, qui permet de tester son activité, le Portage Salarial. Vous êtes indépendant dans toute l’organisation de votre travail, la tarification les lieux le horaires, etc … mais vous allez percevoir en fin de mois une fiche de salaire. Vous allez être « salarié » de manière officielle, avec les charges salariales payées ( cotisations retraite, chômage, maladie…) et , il faut le savoir, les charges patronnales (puisque vous êtes aussi indépendant). L’ensemble représente environ 55% du chiffre d’affaire que vous allez générer. Exemple : vous déclarer à la société de portage, 2000 euros à facturer à votre ou vos clients pour septembre. C’est la ssociété de protage qui envoie les factures en votre nom. Une fois cette somme encaissée (par elle) vous allez toucher une fiche de paye avec un chèque de : 1000 x 45% = 900 euros net dans la poche (avant impôts). Je sais vous allez me dire que c’est peu. Mais un chef d’entreprise marche pratiquement de manière identique quand il doit payer les charges de ses employés. Vous pouvez voir ces chiffres sur votre fiche de paye. Vous avez les charges que l’on vous retire, et à coté vous avez les charges que votre patron paye pour vous. Je le répéte aussi, c’est une manière légale de travailler et de tester sa toute nouvelle activité. Vous pouvez vous séparer de la société de portage à tout moment. Il y a 4 ou 5 ans j’étais inscrit chez http://www.webportage.com/
Bonjour Xavier, je cherche pour ma part des infos sur l’AGESSA … Je suis auto entrepreneur depuis 2011, est-ce un organisme obligatoire, ou un organisme autre que le RSI …. a quoi sert-il ? Je ne trouve aucun commentaire la-dessus !
merci de m’éclairer.
Bonjour,
Il ne faut rien exagérer quant à la paperasserie des Auto Entrepreneurs (AE) ; c’est minimaliste.
Dans tous les cas, vous devrez suivre un stage de formation obligatoire à la chambre de métiers qui va tout vous expliquer.
Ensuite, comme toute entreprise, il faudra que vous puissiez émettre devis et facture. Pour cela il existe des petits logiciel de gestion (CEIL AE ou KAFEO) qui vont vous aider à le faire et suivre votre compta. Vous pourrez éditer chaque année votre livre de compte.
Un compte bancaire dédié (non professionnel)
Une déclaration trimestrielle ou mensuelle enligne.
Une assurance responsabilité civile
Rajoutez à cela un site WEB, un logo, quelques cartes de visites, lettre à entête de l’entreprise, un tampon d’entreprise .. Et c’est tout. Vous survivrez.
De nombreux sites vous y aident à commencer par :
http://www.lautoentrepreneur.fr/index.htm
Allez, courage ….
Merci pour ce message plein de bon sens 🙂
Bonsoir,
Tout d’abord je souhaite vous féliciter et vous remercier pour votre site, il m’aide beaucoup depuis quelque temps.
Photographe depuis quelques années, je travaille à temps partiel en restauration rapide, je voudrai aujourd’hui devenir AE.
Y’a 15 jours j’ai assisté à la réunion d’information dans ma CMA, oula quel charabia !!!
J’ai plusieurs questions et personne ne me donne les mêmes réponses, alors je me permets de vous les poser …
Le fait de travailler à temps partiel je cotise à la Sécu, dois je payer un autre organisme si je deviens AE ?
Si je fais zéro chiffre d’affaire, est ce que je paye quelque chose ?
Une chose est sur c’est qu’il faut faire une formation de 5 jours obligatoire, je suis motivée j’aime ce que je fais, si je choisis de faire AE c’est pour comme tout le monde être dans la légalité !!!
Je vous remercie d’avance pour votre réponse.
Merci de ta réponse (rapide en plus). j’ai fait la réunion d’information, j’ai rendez vous le 21 septembre pour le stage de 5 jours. Voilà, encore merci à toute l’équipe, et à bientôt.
bonjours, et merci a toute votre équipe, pour tous ses renseignements utiles. j’aimerais savoir, si il existe une autre façon d’être déclaré sans passer par ce stage (payant, 298 € dans le Gard), je suis retraité, et souhaite travailler dans la photographie, et pouvoir facturer mon travail. je n’ai donc pas droit a l’acre, et une AE me semblais la plus approprié pour mon projet. mais si il y a un moyen autre de se déclarer, pouvez vous me renseigner ? merci encore pour toutes vos vidéos et autres moyens mis à notre disposition, pour comprendre et apprendre à travers vos expériences. cordialement JP
Bonjour JP, tu es obligé de déclaré ton créer ton statut AE à partir de autoentrepeneur.fr (nous allons bientôt faire une vidéo dessus).Pour la dispense de stage, tu peux en faire la demande SOUS CERTAINES CONDITIONS. Tu pourras trouver des renseignements sur « cfe-metiers.com » -> « Pièces justificatives »-> »Demande de dispense de suivi du stage de gestion »
Bonjour à tous et merci pour vos messages, nous allons essayer du mieux que nous pouvons de couvrir les différentes questions abordées à travers les différents articles. A travers les articles, je ferai de mon mieux pour vous donner aussi mes retours en tant que débutante dans le monde des professionnels. J’espère que ces retours donneront du courage à ceux qui passent par des hauts et des bas au début de leur carrière, avant d’être excellent, nous avons tous commencé quelque part. A bientôt 🙂
salut,
je suis en plein dedans, je m’immatricule début octobre aprés le fameux stage creation entreprise artisanale désormais obligatoire ! je ne trouve pas toute la paperasse compliquée, je suis bien plus soucieuse de rendre de belles photos aux gens et de ne pas me planter ! ca prend un peu de temps de faire tout cela, mais la liberté de travailler pour soit a un prix, et ca passe par la …
je tenais en tout cas a remercier Xavier et l’équipe, j’ai pris des cours photos chez un photographe, et j’ai compris 1000 fois plus de choses avec tes vidéos (dont la complète que j’ai acheté) et j’ai progressé énormément grace a toi, alors merci tout plein 🙂
Merci Agnès pour ce témoignage 🙂
Bonjour,
Merci pour cette introduction car c’est ce vers quoi j’envisage de me diriger (actuellement, je suis demandeuse d’emploi) car j’ai un bts mais… j’envisage la grosse reconversion professionnelle depuis environ deux ans. J’ai une question: Est ce qu’un diplôme est obligatoire en photo pour ouvrir son entreprise ? Parce que j’apprends en autodidacte.
Est ce qu’être salarié auprès d’un photographe est recommandé avant ?
Est ce qu’un photographe doit obligatoirement se spécialiser dans un domaine spécifique ou pas ?
En tout cas, j’attends votre autre article avec impatience 🙂
Bonne journée !
Bonjour Mathilde. Pour répondre rapidement, dans l’ordre ça donne :
1 – Non, aucun diplôme n’est nécessaire.
2 – Ce n’est pas obligatoire mais si tu trouves, être salarié auprès d’un photographe peut aider
3 – Oui, il FAUT ABSOLUMENT se spécialiser. Je reviendrais sur cette notion extrêmement importante dans un de mes articles.
D’ac merci pour tes réponses Xavier 🙂 Autre question: Est ce que je peux demander à accompagner un photographe (lors d’un mariage par ex), afin de me former et de bénéficier de ses conseils même si je ne suis qu’amatrice pour le moment ?
Tu peux toujours essayer. Pose toi cette question simple : as-tu quelque chose à perdre à demander… NON. Tu as tout à y gagner
Bonjour à l’équipe d’objectif photographe et aux lecteurs,
J’aime beaucoup votre article, qui aide beaucoup… Moi aussi je cherche à devenir photographe pro mais au niveau des status, des charges… j’ai un peu de mal…
J’ai suivi les conseils de Seb (je pense que c’est lui qui a fait l’article, j’ai un petit trou de mémoire 🙁 ) Je travaille gratuitement en faisant des shootings avec des modèles afin de me perfectionner dans le milieu du portrait…
Il me tarde de voir la suite et l’article que vous concoctez 🙂
Bonne soirée à bientot
Chouette info merci.
Le même article pour les belges cela serait chouette. ☺
Ca serait bien, mais on a pas de photographe belge pour venir en parler et nous ne sommes pas compétent en la matière 🙁
Bonjour,
J’ai hâte de connaitre la suite car ça fait bientôt un an que je tourne en rond, sans savoir quel statut je dois choisir. Il semble que lorsque je parle de photographe, je parle Extra terrestre. C’est quoi ça? La plupart des personnes à qui je me suis adressé ne savent pas qu’il peut y avoir différent type de photographe (arts, mariage ect. . .) A la maison du droit on m’a dit, il suffit de déclarer aux impôts ce que vous gagnez dans la case autre revenus. Perso, je suis mère au foyer et je suis couverte totalement par mon époux. J’aimerais que ça le reste et l’année prochaine, je veux commencer à faire des photos rénumerer donc me déclarer. A un autre endroit, on m’a dit que pour être auto entrepreneur il fallait faire obligatoirement un stage payant à 250 euros. Pour la comptabilité, je pense gérais car j’ai déjà un BEP de comptable. Je veux juste trouver un statut pour être dans la légalité sans gros frais car je ne pense pas gagner beaucoup, si dans l’année j’ai 300 euros par mois en moyenne ce sera surement le bout du monde.
Bonjour Colette, pour ton cas le statut AE est tout indiqué. Peu cher (même si le stage est obligatoire bien que des dérogations existent), avec une compta réduite au maximum, et un impôt sur les revenus que génèrent cette activité qui peut être prélevé en même temps que toutes les autres charges… bref, notre prochain article/vidéo sur le sujet va grandement t’intéresser.
Bonjour,
je suis passé pro en oct 2014 comme photographe auteur, sous forme d’entreprise individuelle, assujettit à la TVA intéressant quant il y a des investissements (7000 €), j’ai un expert comptable pour 80 € mensuel, ce qui me soulage de la paperasse et des déclarations. Mais surtout sans lui je ne récupérait pas ma TVA avant une année (directive des impôts etc … )
Pour l’instant tout va bien avec
Merci Denis pour ce témoignage.
Avec Internet et le prix que l’on offre pour une photo, je ne vois pas comment correctement de la photo. La plus part des photographes que je connais cumul plusieurs emploi et je sais que cela ne leur convient pas toujours. Peu de photographes vivent de leur photo.
Je suis tout à fait d’accord avec toi Laure L, tous les conseils nous dirigent vers du travail de qualité pour être au dessus du marché, mais les clients, eux, sont long, très long de vouloir investir, même au juste prix, pour une prestation de photographe. Beaucoup de photographes se voient donc dans l’obligation de trouver d’autres activités, d’autres idées pour générer un chiffre d’affaire convenable. La formation de photographes fait désormais partie des ces nouvelles activités, et pourquoi se voiler la face, les « primo-accèdents à l’activité photographique professionnelle » sont une « niche » commerciale. Ces photographes sont devenus une nouvelle ressource. Bien ou mal, à chacun d’y trouver son compte. Il est tout de même important de prendre conscience de la réalité du marché, d’avoir une opinion objective de celui-ci, selon notre lieu géographique. Car sommes nous tous ou toutes des photographes internationaux (avec savoirs et compétences) pour des propositions à Dubaï? Pour exemple, des futurs mariés, travaillant tous les deux à Singapour, reviennent pour ce marier dans ma région. Ils louent pour cette occasion un château (4500€) plus tous le reste évidemment, et regardent pour une prestation à 950€ (le prix d’entrée). A ce jour, les photographes de mon secteur, dépassent que très rarement 1300€ de chiffre d’affaire et ne génèrent guère plus d’une dizaine de mariages par an (sauf « boite à Mariages »). Faites les comptes… Espérer en vivre est une idées utopique?
Bonjour, je te remercie d’aborder le sujet de « prise de conscience de la réalité sur le métier de photographe, notamment de mariage ». Si vous voulez une opinion objective sur cette réalité, ca tombe bien, je suis photographe de mariage donc je parle en connaissance de cause. Je vais revenir sur quelques points que tu soulèves. Commençons par je cite : « Les photographes de mon secteur, dépassent que très rarement 1300€ de chiffre d’affaire et ne génèrent guère plus d’une dizaine de mariages par an (sauf « boite à Mariages »). Faites les comptes… Espérer en vivre est une idées utopique ? » Pour parler, de mon cas, je ne suis pas une « boîte à mariage » et dès ma PREMIERE ANNEE d’activité mon prix plancher était de 1500 Euros et j’ai fait 17 mariages… dès ma première année. Mon tarif plancher est aujourd’hui de 3600 euros (avec un ticket moyen autour de 4500 euros) et je continue de booker. Greg Finck facture parfois dès mariage à 5 chiffres. Seb, que vous avez vu sur plusieurs vidéos, débute aussi dans la photographie de mariage et il est à 1800 euros. En 2015, sa première année, il a 15 mariages… et il a dû en refuser car il n’en voulait pas plus. Reego, que j’ai accompagner à ses débuts a suivi la même progression, etc. D’une manière générale, les photographes que je connais personnellement arrivent tous à en vivre. Et ils sont basés PARTOUT en France, donc ce n’est pas une histoire de situation géographique. C’est juste une histoire de bonnes pratiques pour arriver à vivre de ce métier. »Sommes nous tous ou toutes des photographes internationaux (avec savoirs et compétences) pour des propositions à Dubaï ? » NON. Mais pouvons nous le devenir ? DEFINITIVEMENT.
D’une manière générale, je m’inscris en faux contre ceux qui disent que le métier est mort, que c’est un boulot de galérien, qu’avec l’avènement du numérique les « fauxtographes » pullulent et cassent le marché. Pour chaque exemple de photographe qui rame on peut opposer le cas d’un photographe qui réussit. Qu’est ce qui fait la différence entre les deux ? La qualité, la volonté, la formation. Quoiqu’on en dise, il y a TOUJOURS de la place pour les personnes talentueuses. Et c’est vrai dans tous les domaines. Oui, l’avènement du numérique à fait exploser le nombre de photographes… mais en contre-partie il n’a JAMAIS été aussi facile de montrer son travail au monde grâce à internet. Avant, pour se faire connaître c’était galère. Aujourd’hui, exposer ses photos (et se faire engager grâce à cette exposition) est une formalité. Autre point positif : le nombre de photo explosant, cela oblige à proposer de la qualité et donc le niveau global augmente. Quant à l’argument de « casser le marché » il est nul et non avenu. Pour illustrer mon propos je vais prendre un domaine que je connais bien : le mariage. Il existe des tas de nouveaux photographes qui se lancent chaque année à un prix plancher. Est-ce que cela m’enlève mon travail, bien sur que non. Car il existe plusieurs segments de marché. Selon l’INSEE, il y a 241 000 mariages chaque année, sans compter les mariages d’étrangers qui s’unissent « pour le fun » en France. Il y en a pour tous les goûts et tous les budgets. Donc à chaque fois que je lis des commentaires vindicatifs sur les photographes de mariage qui cassent le marché… je hurle intérieurement. Cela revient à dire que Renault avec sa Twingo casse le marché automobile et par conséquent Porsche vendra moins de Cayenne. C’est ABSURDE. Le marché n’est pas unifié comme pour la téléphonie mobile. Tout est question de segmentation de marché et de positionnement par rapport au marché. Si au bout de 3 ans, vous n’arrivez toujours pas à décoller, la raison est que « you are not good enough ». Pas besoin de se chercher des excuses. J’en profite pour vous conseiller la lecture d’un article de OP : http://objectif-photographe.fr/secret-succes-photographie/
En tout cas, retenez ceci : l’équipe d’OP travaille très dur en ce moment sur un projet (TOP SECRET) qui va permettre au plus grand nombre de profiter des conseils des photographes qui réussissent dans le métier 🙂
Je suis en accord avec tes propos (Xavier). Oui, il faut être bon (you are not good enough), mais bon en tout! Bon en gestion d’entreprise, bon en organisation, bon en communication, bon en marketing, bon commercial, bon en relations humaines, bon en disponibilité, bon avec son conjoint, bon avec ses enfants, bon physiquement, bon… Bon financièrement, bon en traitement, bon en prises de vues, bon avec les invités, bon avec les familles, bon photographe (aussi), quoi! Il y a plus de dix ans que je suis à mon compte, et je peux le dire, vous êtes une grosse poignée à pouvoir réunir toutes ses compétences, guère plus. Stages, formations ne suffisent pas à influer la Foi (ni le don). Je te suis depuis quelques année, et tu (Xavier) fais parti du haut du panier (je voulais dire l’élite, mais je ne voulais pas blesser ta modestie). Tu sites Sébastien comme exemple, nous ne pouvons pas tous bénéficier de ses atouts (je suis conscient qu’il est doué). Les clefs de la réussite sont généralement surtout d’après les formateurs, la formation, en prises de vues, en traitement, en marketing, en web 2.0, en l’élaboration de ses tarifs, en prise de conscience de son savoir-être, etc… Et puis… Peut-on penser que cela suffit? Qui, n’a jamais entendu que l’on pouvait se passer du photographe le jour de son Mariage? Que les invités feront les photos (à tort ou à raison). Pourquoi les clients souhaitent (pas tous) un service trois étoiles en voulant payer pour une cafétéria? Pourquoi y-a-t-il tant de Mariages qui se déroulent dans une salle des fêtes? Pourquoi, lorsque tu prend contact avec une consœur débutante, celle-ci dédaigne à te répondre? Parce-que l’on n’est pas assez bon(you are not good enough)? Nous souhaitons tous (ou une grande partie) avoir le talent de Greg Finck (voir même le tien, ça m’irait pour ma part), appliquer ses tarifs, photographier les mariés aux « plastiques de rêve » (hommes et femmes confondus), dans des lieux de réception à la déco exceptionnelle, des mariages au budget impressionnant. Désolé d’être le rabat joie de service, mais non, ce ne sera pas possible… Why? You are not good enough! Est-ce la seule réponse? Je ne l’ai pas, mais je ne peux pas m’arrêter à ce raccourci. Vrai, s’il en est, mais raccourci quand même.
Superbe réponse xavier, 200% d’accord avec toi !
Bonjour,
Par expérience, l’accompagnement du début d’activité par un comptable peut se relever un bon choix. La mienne a pu m’aiguiller sur mes début et m’a également guidé vers le choix de statut de photographe-auteur au bout de trois années, ce statut étant plus en adéquation avec l’évolution de la nature de mes revenus.
Je pars du principe que la gestion administrative peut rapidement devenir extrêmement chronophage, et que le temps est une ressource très précieuse lorsqu’on se lance dans le monde de l’indépendance, particulièrement les premières années.
Bien entendu, il est important de tomber sur quelqu’un maîtrisant les différents régimes relatifs la profession (auto-entrepreneuriat, Agessa, Maison des artistes…), chose qui n’est pas forcément toujours aisée, et qu’il est préférable de questionner lors de la recherche d’un comptable.
A défaut d’avoir un comptable, je pense que c’est important de pouvoir avoir un référent pour les questions administratives. Cela a certes un coût, mais je crois que le temps économisé et permettant pouvoir se concentrer sur le cœur de notre activité – ou prendre un week-end (rires) – est au final tout à fait rentable.
Bonjour,
j’ai trouvé l’article très intéressant mais je souhaitais apporter une autre approche possible.
Il y a une autre alternative très intéressante pour se lancer de manière plus « accompagnée », il s’agit des SCOP (Société Coopérative Ouvrière Participative), où l’on est entrepreneur-salarié et non plus auto-entrepreneur.
Il y a un an que je me suis lancée dans l’aventure et je recommande cette formule à beaucoup de monde. Elle permet de mieux cerner le métier et aussi de bénéficier d’un réseau très important (on sait à quel point cela compte!!!!). Elle n’est sans doute pas 100% parfaite et peut aussi ne pas convenir à chacun mais je trouve que ça vaut le coup d’y jeter un oeil. Vous pouvez trouver des infos sur http://www.minedetalents.fr (c’est la SCOP dont je fais partie, nous sommes déjà presque 150 et plusieurs photographes), il y a de nombreuses SCOP ou CAE (Coopérative d’Activité et d’Emploi) en France et de nombreuses réunions d’information très utiles.
Bonjour Aline, effectivement ce statut est intéressant.. mais l’article ici présent traite de l’étape d’avant, c’est à dire quels sont les dispositifs qui permettent de tenter l’aventure « photographe pro » à moindre risque. La question du CHOIX du statut pour se lancer sera traité dans les articles suivants. Un article, un statut 🙂
bonjour, merci pour tous vos conseils, mais comme d’habitude, vous oubliez une part importante de la population : celle qui n’est ni au RSA, ni salariée, mais qui exerce une activité soit commerciale, soit libérale. Quand on s’arrête, on a droit à rien et par contre on chope les rappels de cotisations. Donc si vous avez des conseils utiles, je suis preneuse
Bonjour Sandrine, on n’oublie pas une large frange de la population. Je m’explique. L’article traite des dispositifs administratifs qui permettent soit de maintenir les rentrées d’argent, soit de garantir un retour à l’emploi. Pour un indépendant, un libéral… il n’existe pas de dispositif. Pas d’allocation chômage à cumuler, pas de garantie de retour au salariat (par définition vous êtes indépendant). Bref, on a le droit à rien… donc rien à perdre à tenter l’aventure sur ton temps libre.
Bonsoir Xavier, je cherchais désespérément un endroit où on parlait d’associer une profession libérale (je suis kiné) à la photo ! Les « affaies » marchent de mieux en mieux et j’aimerais donc pouvoir cumuler les deux en toute légalité ! Mais comment faire ? Quel statut puis-je avoir en tant que photographe sachant qu’en tant que profession libérale je ne peux pas être auto entrepreneur ?
Merci, à bientôt
Bonjour,
Merci pour cet initiative. Je suis actuellement en cours de réflexion : En tant que salarié, il y a bien sûr le congé sabbatique mais cela peut s’avérer difficile à gérer financièrement.
Pour ma part, je réfléchis donc à la mis en place à un allègement du temps de travail principal pour augmenter celui de l’activité secondaire (90%, 4/5ème) bien sur cela s’accompagne d’une baisse de salaire mais permet de payer encore les factures.
Une autre option est l’achat de congés. Beaucoup de mes collègues lançant une activité secondaire exploite ce dispositif.
Après cela dépend de son secteur d’activité et des conventions collectives.
Bon courage dans vos projets respectifs.
Merci Caroline pour le partage de ta réflexion
Bonjour, personnellement j’ai opté pour une coopérative d’activités et d’emploi. Malgré une cotisation sur le chiffre d’affaire, la structure est assez souple afin de tester son projet dans de bonne conditions.
Bonjour Christophe. Merci pour ton témoignage. Nous ne manquerons pas de parler de ce statut à l’avenir 🙂
Bonjour Margaux,
Selon moi, une partie « demarrer une activitée secondaire » aurait étée la bienvenue. En effet, en tant que salarié il est possible d’etre auto entrepreneur en activité secondaire et pratiquer la photographie en tant qu’artisan, du moment que notre activité secondaire ne concurrence pas notre activité principale. Il est donc plus facile de démarrer le weekend et lors de ses congés pour prendre contact avec le milieu. Malheureusement peu d’informations sont disponibles sur internet concernenant le statut d’autoentrepreneur en activité secondaire. Une case est simplement a cocher au moment de la déclaration sur internet.
Bonjour Jen, tu as tout à fait raison… nous avons fait les ajouts nécessaires 🙂
Merci pour ce partage, mais je me pose encore beaucoup de question aujourd’hui il y a beaucoup de photographe sur le marché.
Oui c’est vrai, c’est pour cela que la qualité de son travail est extrêmement importante
Merci pour cette introduction à un virage professionnel, ce vers quoi j’espère me diriger. J’attends avec impatience la suite! Je me pose des questions pratiques justement: quelles sont ces assurances, pourquoi ne cotisons-nous pas pour le chômage et comme je suis nulle en compta: à quel point cette « paperasse » est compliquée et est-ce possible d’être aidé?
Sans vouloir lancer un débat, ni même vous faire peur… Sachez, Axèle, que le statut d’indépendant porte bien son nom, car vous êtes justement…. Indépendant.
La comptabilité est l’un des piliers à maitriser, sans être le seul, si vous souhaitez savoir ou vous allez…
Déléguer cette partie à un comptable n’est pas une solution selon moi, mais un début. En effet, votre comptable pourra vous accompagner, vous soulager d’une grosse partie du travail… En revanche, il ne peut se substituer à vous pour ce qui est de la direction de votre « petite entreprise » et des choix futurs.
En plus, il faudra le rémunérer pour tout son travail et le temps qu’il passe sur votre dossier…
Vos choix, vos décisions.
Bonne continuation,
Pietro
Nous essaierons de répondre au mieux à toutes ces questions.