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Dans ce nouveau cours photo, nous allons rentrer dans le détail de la prise en main de votre appareil photo argentique. Que vous possédiez un appareil 35mm ou moyen format, il y a quelques bases à savoir pour vous permettre de vous en sortir rapidement.
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Les trois sujets clefs dont nous allons parler aujourd’hui, sont :
- Les fonctionnalités de base de votre appareil, et notamment la gestion des dos et des inserts si vous disposez d’un appareil moyen format.
- Le chargement d’une pellicule.
- Les réglages de base pour vous permettre de shooter et réussir vos images dès la fin de ce petit cours photo. A noter que nous ne traiterons pas aujourd’hui de l’utilisation du light-mètre, qui fera l’objet d’un tuto spécifique. Nous ferons donc confiance aujourd’hui à la cellule interne de votre appareil photo, et travaillerons en mode semi-automatique : priorité à l’ouverture.
1. Prise en main d’un appareil photo argentique 35mm
Nous allons prendre aujourd’hui comme exemple le CANON EOS 1V, qui est le dernier boîtier professionnel argentique sorti par CANON en 2000. Ce boîtier, qui vaut aujourd’hui aux alentours de 600€ en occasion, était en 2000 ce qu’il se faisait de mieux en matière de boîtier professionnel. La première chose qui saute aux yeux lorsqu’on le voit, est qu’il est extrêmement similaire aux boîtiers CANON numériques du moment, que ce soit le 5D Mark III, Mark II, ou même le 1DX. La bonne nouvelle de ce boîtier, est qu’il va effectivement pouvoir s’adapter à toutes vos optiques CANON numériques.
• Changement de la pile
Rentrons immédiatement dans la prise en main de cet appareil. La première chose à savoir, contrairement à un appareil numérique, est que cet appareil utilise une pile. Vous y avez accès grâce à la vis, que vous pouvez simplement dévisser avec une pièce de monnaie. Ici, il s’agit d’une pile 2CR5 si vous disposez du boîtier sans grip.
Si vous avez la version avec grip, vous pourrez directement insérer 8 piles LR6 traditionnelles. C’est intéressant car les piles LR6 peuvent être rechargeables, mais cela alourdit considérablement le poids de votre boîtier. Vous disposez d’un indicateur de l’état de charge de votre pile sur l’écran LCD de contrôle.
• Chargement de la pellicule
Après avoir mis votre appareil en route (bouton ON/OFF au dos), la première chose que vous allez vouloir faire, c’est la mise en place de la pellicule.
Vous utilisez donc une pellicule 35mm, que vous placez simplement dans l’emplacement destiné à cet usage. Vous tirez ensuite la pellicule jusqu’à la marque orange située en dessous de l’enrouleur. Et vous refermez le boîtier. La pellicule vient alors automatiquement se positionner sur la première vue, et vous pouvez commencer à shooter.
Lorsque vous aurez atteint 36 poses, la pellicule se rembobinera par elle même. Si vous souhaitez la rembobiner avant l’atteinte de ces 36 poses, vous bénéficiez du bouton REWIND situé à côté du bouton ON/OFF. En dehors de ces deux cas de figure, n’ouvrez jamais le boîtier, car vous exposerez votre pellicule au grand jour, et cela gâchera les photos déjà prises.
• Régler la sensibilité
Maintenant que la pellicule est chargée, vous allez régler la sensibilité ISO de la pellicule sur votre boîtier, afin de lui donner cette information.
Cela revient à régler les ISO sur votre appareil numérique. La différence est toutefois que la sensibilité est déterminée par votre pellicule : 100ISO, 400ISO, 3200ISO, et qu’elle est fixe pour une pellicule donnée. Vous ne pouvez donc pas la faire varier comme vous pouvez le faire sur votre capteur numérique.
La sensibilité ISO de votre pellicule va déterminer la vitesse de déclenchement à la prise de vue. La pellicule a un meilleur rendu, lorsqu’elle est surexposée d’un diaphragme. Nous rentrerons plus en détail sur ce sujet lors du tuto sur la mesure manuelle de la lumière. Toutefois, je vous engage donc à régler la sensibilité de votre pellicule, sur la moitié de la valeur initiale. Si vous disposez d’une pellicule 400ISO, vous allez donc la régler sur 200ISO, d’une pellicule 800ISO -> sur 400, et ainsi de suite. De ce fait, vous allez surexposer vos photos d’un diaphragme, et le résultat en sera meilleur.
Pour régler les ISO, j’appuie donc simultanément sur les boutons AF et ISO qui se trouvent sur la gauche, et j’atteind le chiffre voulu grâce à la molette de droite. Dans notre cas, nous avons une pellicule FujiFilm 400 ISO, et réglons donc le curseur sur 200 ISO.
• Réglage de l’AutoFocus
Déterminons à présent le fonctionnement de votre Autofocus. Dans un premier temps, assurez-vous bien, que l’AutoFocus de votre objectif est activé. Vous y avez accès grâce au bouton AF/M se trouvant sur votre objectif. Si votre AutoFocus venait à ne plus fonctionner, vérifiez toujours en premier lieu que ce bouton est bien sur AF.
• Mode de prise de vue
Afin que la vitesse d’obturation soit calculée automatiquement en fonction de l’ouverture que vous avez choisi, vous allez vous positionner en mode Av : priorité à l’ouverture. Pour ce faire, cliquez simplement sur le bouton Mode, situé sur la gauche du boîtier, et atteignez le mode Av grâce à la mollette de défilement. Vous êtes désormais en priorité à l’ouverture, c’est à dire que vous allez déterminer l’ouverture de votre diaphragme, et que la vitesse va être calculée automatiquement en fonction.
• Prise de vue
Vous êtes désormais prêt à shooter avec votre appareil 35mm. Allumez votre appareil, et sélectionnez désormais l’ouverture de votre diaphragme grâce à la mollette de défilement. Plus le chiffre est petit, plus la profondeur de champ va être réduite, c’est à dire que vous allez obtenir un flou derrière votre sujet. Plus le chiffre est grand, plus la netteté va être importante derrière votre sujet. Vous remarquez, qu’en fonction de l’ouverture que vous choisissez, la vitesse varie automatiquement.
Visez désormais. Faites la mise au point où vous le souhaitez grâce au collimateur central. Appuyez à mi-parcours sur le déclencheur pour verrouiller la mise au point. Vous entendez un bip qui vous confirme le verrouillage de la mise au point. Recadrez votre image et déclenchez. Vous photographiez désormais avec votre appareil argentique 35mm.
2. Prise en main d’un appareil photo argentique Moyen Format
Passons désormais à la prise en main d’un appareil Moyen Format, qui peut faire un peu plus peur, mais qui n’est pourtant pas beaucoup plus compliqué. Il y a simplement moins de fonctions automatiques que sur l’exemple précédent. Pour ce tuto, j’ai pris l’exemple du Contax 645, relativement classique dans son utilisation par rapport aux autres Moyen Format du marché.
• Changement de la pile
De la même manière que pour l’appareil 35mm, vous disposez d’une pile, qui se situe ici. Il s’agit également d’une pile 2CR5, sauf à ce que vous disposiez également d’un grip. Contrairement au CANON 1V, vous n’avez pas d’indicateur de charge visible. Celui-ci se trouve directement dans votre viseur. Si votre appareil se fige au milieu ou après une prise de vue, c’est signe que la pile est déchargée et qu’il vous faut la remplacer. Ayant en tête que vous pouvez faire environ 500 prises de vue avec une pile sur cet appareil, donc ayez-en toujours une de rechange avec vous.
• Le dos
L’endroit dans lequel nous allons insérer la pellicule est appelé le dos. Il est amovible et s’enlève comme ceci, grâce au bouton placé sur le côté gauche du dos. Vous le remettez en le plaçant bien dans les encoches prévues à cet effet. Le Dos contient donc la pellicule, et vous remarquez qu’elle n’est pas visible. Il y a en effet une plaque métallique, qui l’empêche d’être exposée à la lumière. Cela est extrêmement utile, car ça signifie que vous pouvez changer vos dos, alors que la pellicule à l’intérieur n’est pas encore au bout de son utilisation. Vous pouvez donc par exemple avoir un dos avec une pellicule couleur, et un autre avec une pellicule noir & blanc, que vous switchez en fonction des situations.
Lorsque l’on remet le dos, avec la plaque métallique entre le dos et le boîtier, on se rend toutefois compte qu’il n’est pas possible de déclencher. C’est un mécanisme de protection car si vous déclenchez dans ces conditions, la photo serait noire, puisqu’aucune exposition de la pellicule n’est possible. Il convient donc d’enlever la plaque métallique comme ceci, et de la placer à l’endroit prévu à cet effet. Maintenant vous pouvez déclencher et exposer correctement votre pellicule.
De la même manière, un système de protection vous empêche désormais d’enlever le dos, car sinon votre pellicule serait exposée à la lumière et inutilisable.En résumé : plaque métallique entre le dos et le boîtier -> vous pouvez changer le dos, mais pas prendre de photos. Plaque métallique enlevée > vous ne pouvez pas changer le dos, mais vous pouvez prendre des photos. Je recommande à toute personne ayant un appareil moyen format d’avoir au moins deux dos pour celui-ci, vous permettant en permanence de shooter en noir&blanc et couleur sans attendre la fin de vos pellicules.
• Chargement de la pellicule
Nous allons maintenant charger notre pellicule. Cela est un peu plus complexe qu’avec le système automatique du CANON 1V. La pellicule va venir se placer sur une pièce que l’on appelle un insert. L’insert est un système disposant d’un rouleau vide, sur lequel va venir s’enrouler votre pellicule. Le rouleau vide de votre pellicule prendra alors la place du précédent et ainsi de suite.
Si vous disposez d’un insert compatible pour les films 120 et 220, assurez-vous tout d’abord qu’il est en mode 120. Si ce n’est pas le cas, faites pression sur la plaque, et tournez la pour que la flèche soit pointée vers 120.
La pellicule que vous allez charger devra toujours se située sur la position du haut de votre insert. Vous placez donc le rouleau vide en bas, puis votre pellicule en haut. Décollez le rouleau, puis dépliez la pellicule pour faire le tour de l’insert en passant bien à plat sur la plaque de contact. Vous insérez ensuite l’entrée de la pellicule dans l’amorce du rouleau vide, et tournez le rouleau vide jusqu’à voir apparaître le signe START en face du marqueur blanc.
Faites en sorte que votre pellicule soit bien tendue sur l’insert grâce aux petites roues présentes sur les côtés. Votre pellicule est désormais chargée, et il vous suffit de la plugger dans le dos, grâce à un mouvement ferme.
• Régler la sensibilité
Une fois que vous avez chargé votre pellicule, réglez simplement la sensibilité grâce à la roue présente sur la gauche. Comme expliqué précédemment, réglez la sensibilité sur la moitié de la valeur indiquée sur votre pellicule afin de surexposer vos photos de 1 diaphragme.
• Réglage de l’AutoFocus
Il faut savoir que l’AutoFocus des appareils moyens format argentique est très lent et peu précis. Pour cette raison, je recommande donc de faire la mise au point manuellement. Cela peut paraître rébarbatif lorsque l’on est habitué au numérique, mais la visée est extrêmement précise sur ces appareils, et permet de le faire sans trop de problème. Vous allez donc vous positionner en mode S (Single Focus) sur le côté gauche de votre appareil. Je vous recommande de rester tout le temps dans ce mode, les autres modes étant fait pour des sujets en mouvement une nouvelle fois.
Faites également attention à ce bouton en bas à gauche de votre dos, qui est fait pour la double-exposition. Vous devez être certain qu’il est en position du bas, car sinon vous allez exposer indéfiniment la même vue sur votre pellicule.
• Mode de prise de vue
Afin que la vitesse d’obturation soit calculée automatiquement en fonction de l’ouverture que vous allez choisir, vous allez vous positionner en mode Av : priorité à l’ouverture. Pour ce faire, positionnez simplement ce curseur sur le mode Av.
Bonjour, peut-on changer d’objectif alors que l’on a un film dans le boitier? Doit-on le faire dans le noir ou en pleine lumière c’est possible?
[…] Cours photo : 4 étapes pour débuter en argentique […]
bonjour à nouveau
pour mon zenit ET après une heure d’essai j’ai enfin réussi à visser complètement l’objectif
il suffisait de forcer un peu
MERCI
Anne
bonjour,
j’ai un zenit ET argentique donc .
j’ai voulu le nettoyer et pour cela j’ai dévissé l’objectif.
quand je veux le revisser je n’y arrive pas
y a t il une technique?
MERCI par avance
Anne
Bonjour,
J’ai un Olympus OM10 et un canon AE1. Je passe du numérique à l’argentique 🙂
Mes 1er tests ne sont pas hyper satisfaisants. J’ai tenté de surexposer la pellicule mais je trouve que j’ai vraiment beaucoup de grains sur mes photos, que ce soit en N&B (Kodak ou Ilford) ou couleur (Fujifilm).
Quel peut être mon souci? Qualité de l’objectif? Mauvaise exposition?
D’avance merci pour votre retour.
Pauline
Bonjour Pauline,
Le AE1 ^^ celui que mon père utilisait quand j’étais petit 🙂 .
La plupart des pellicules ont un grain plus ou moins fin, même à des valeurs ISO basses. Certaines pellicules présentent un grain plus fin, vous pouvez voir sur des sites de test de pellicules comme ici http://pirate-photo.fr/pages/viewpage.php?t=34 que même avec des pellicules 100 ISO réputées le grain est toujours assez présent. Si vous préférez les images bien propres il vaut mieux rester en numérique ou tester d’autres pellicules dont vous pourrez déjà avoir un aperçu sur des sites de ce genre https://analogyou.wordpress.com/2014/10/20/les-differentes-pellicules/ 😉 .
Bonnes photos,
Alex.
Je vais tester d’autres pellicules.
Merci pour votre retour!
je voudrais trouver la notice d’emploi du rikemon 1.3 4 4-5 35mm 70 mm
Bonjour,
Cela fait 2 fois que je fais développer des photos, et sur certaines d’entre elles ( faisant partie de la même pellicule), des chiffres apparaissent, par exemple: 21 10 ’03. Cela ressemble à une date, sauf qu’elle serait fausse. Comment faire pour que ces chiffres n’apparaissent plus? J’ai seulement aux touches des flashes.
Merci pour votre réponse.
j’aimerais qu’ne maison sois dédier a la vente de matérièl photo numérique et argentique comme une
grande surface pour revalorisé cette art si beaux si intence
[…] Cours photo : 4 étapes pour débuter en argentique […]
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Bonjour,
J’utilise un Nikon FM et applique une technique inverse de celle préconisée (pellicule N&B uniquement) à savoir, régler la sensibilité sur mon appareil à 400 alors que ma pellicule est de 100 ISO (sous exposition de 2 diaph, donc !). Personnellement, j’ai choisis cette technique car elle me permet d’augmenter les contrastes entre les zones lumineuses et les zones d’ombre, et évite de « cramer » certaines parties trop éclairées. J’ai l’impression que cette technique met davantage en valeur la partie illuminée d’une scène en noircissant notamment tout ce qui se trouve autour. Dans le cas contraire, en surexposant légèrement, j’ai l’impression que les niveaux de gris sont moins nombreux, et que le rendu est plus « aplati », que mes sujets ressortent moins bien. Qu’en pensez-vous ?
Très bon article. J’applique le concept de la photo argentique au voyage et c’est vraiment un très bon outil que les gens sous estime. Il y a beaucoup de chose que je n’aurais jamais pu faire en numérique.
Et le prix de l’argentique est très attractif … Avec 300/400 euros avoir entre les mains un boitier qui peu dans certain domaine avoir les qualités d’un boitier numérique à 3000 euros … fait que on n’hésite pas à la prendre partout partout partout … De plus les boitiers sont souvent + compact. Très bon également pour passer partout en voyage et pas se tordre le dos.
Bonjour,
Merci pour ces conseils, ça donne envie de ressortir mon vieil eos5
Bonsoir Greg , dommage de pas avoir de réponse à nos questions !!
Cordialement.
Bonjour Philippe,
C’est désormais le cas 😉
Bonjour greg
merci pour ces 2 videos très sympa, j’ai pour ma part quelques questions qui restent sans réponse:
si tu surexposes ta pellicule (400 à 200 ASA) tu la fait développé 400 ou 200?
restes tu en mesure matricielle pour l’expo? j’ai peur que la mesure spot avec la surexpo donne des photos cramées !
as tu des conseils de labos en France ou à l’étranger pour développer ses pellicules?
pour le développement que conseil tu ? tirage ou scanner avec fichiers numériques?
bien à toi
Bonjour,
Les pellicules sont développées par le labo à la valeur originale indiquée dessus (400 en l’occurence ici). La surexposition à la prise de vue a pour but d’optimiser le rendu des couleurs.
Pour la mesure de la cellule, elle reste matricielle effectivement, ou mesure manuelle avec un lightmetre (c’est ce que je fais).
Pour les labos : Carmencita en Espagne ou Richard Photo Lab (mon labo) aux Etats-Unis. Les meilleurs de loin.
Et je fais toujours scanner + tirer toutes mes images !!
Très belle journée,
Bonjour,
Merci pour cette vidéo ! Ca fait plaisir de voir que non seulement la photographie argentique a encore des adeptes mais qu’en plus ils sont de plus en plus nombreux (du moins je l’espère !).
Je possède un Canon FTb-QL depuis quelques semaines et ma première pellicule était sous-exposée (à cause de la pile alimentant la cellule de mesure d’exposition qui n’est à la tension exacte prévue à l’origine). Pour ma deuxième pellicule, après avoir fait des mesures comparatives avec un boitier numérique, j’ai indiqué à l’appareil une valeur de sensibilité ASA divisée par 2 (comme cela est conseillé dans votre vidéo).
J’aurai d’ici peu les résultats du développement en espérant avoir mieux contrôlé l’exposition !
Bonjour Julien ! Oui toujours mieux de surexposer de +1 voire +2 diaph pour une optimisation des couleurs !
je possedeun canon ft ql lens50mn plus objectifcanon200mn plus flash metz 45 ct1
que puige en faire le vendre!!!! quel prix !! merci de me repondre
Bonjour Philippe, le réglage des ISO est-il une règle aux boîtiers canon ou à tous les boitier
argentique ! je possède un Nikon F5 est le résultat au réglage ISO de la pellicule est
sous-exposé ! alors je pense appliqué votre méthode car j’avais l’impression que c’étais une
mesure de l’appareil en défaut . merci de me répondre.
Bonjour Philippe ! C’est une règle universelle ! Vous aurez toujours de meilleurs résultats en surexposant votre pellicule qqsoit le boîtier !
Bonjour Xavier. Je vous remerci pour ce cours sur l’argentique.
Ça me permet de garder mes vieux souvenirs. Merci encore pour
Ce cours. A+
Bonjour,
Si vous avez modifié la sensibilité d’un film NB, par exemple de 400 ISO à 2OO ISO,
quelle sensibilité choisissez-vous pour développer votre film? 400 ou 200?
Merci de votre réponse.
Si je ne m’abuse il est conseillé de développer le film à l’exposition choisie se le boîtier ! Sous réserves 😉
Bonjour Jean, le développement se fait toujours sur l’expo originale de la pellicule (celle notée sur le film) !
Faux, le bénéfice de la plus part des films est qu’ils ont une énorme tolérance et peuvent donc être exposé hors de leur sensibilité préconisée… on peu donc utiliser une ILFORD HP5 à 800, 1600 plutôt que le 400 en prenant garde que toute la pellicule soit exposée avec la même sensibilité, exposition qui sera prise en compte lors du développement.
Pour la petite histoire la ILFORD DELTA 3200 est en faite une pellicule d’une sensibilité de 1250… et certain photographes l’utilise à 12800….
Sur le gestion des ASA (ISO) j’ai toujours entendu qu’il fallait respecté l’indication sur la pellicule à savoir si on a une pellicule de 400 on se cale sur 400 sur le boîtier ! À part le noir et blanc qu’on peut augmenter au double de sa valeur ! Beaucoup de connaisseurs m’ont dit que si on dérogeait à cette règle on pouvais ruiner l’intégralité de toutes les poses!
Sébastien, le rendu des pellicules couleurs (Kodak Portra ou FujiFilm Pro) est meilleur en les surexposant de +1 diaph (réglage d’ISO à 200 si la pellicule est une 400 par exemple). Aucun risque de ruiner les images avec une surexposition de +1 dans tous les cas, le mieux est que tu testes et détermines ta préférence !
[…] via objectif-photographe.fr […]
Rigolo que cette vidéo tombe aujourd’hui, je viens de m’acheter une nikon FM2.
Juste une question, le fait de passer à ASA200 sur le boitier alors que la pellicule est en 400 est-ce universel comme astuce ? Par ailleurs ça marche sur N&B ?
A bientôt et merci pour ce boulot !
François
Bonjour j’ai 56 ans et je suis passé au numérique il y a 8 ans que de souvenirs qui remontent à la surface, merci pour votre bonne humeur
bonjour,
j’ai un Nikon F801 pour l’argentique (depuis 1993), les consignes données ici sont universelles quelque soit le modèle d’appareil équivalent et même transposables pour le numérique avec le parallèle pellicule —> sensibilité ISO du capteur.
Les bases de la photographies (triangle exposition et mise au point avec collimateur) sont immuables au départ. Ce sont les réglages avancés qui feront toute la différence.
Enfin un débutant en photo argentique est sait assez avec cet exposé pour démarrer dans de bonnes conditions
cordialement