Les premières étapes pour devenir pro avec Reego

J’ai lancé un projet : aider un amateur à devenir un photographe pro. Vous allez pouvoir suivre la progression de Rachel et Gregory qui ont été sélectionnés. Aujourd’hui c’est Reego qui vous explique les premières étapes qu’il a suivi. J’ai fait quelques remarques supplémentaires. Pour les repérer, c’est facile, elles sont encadrées

Bonjour à tous,

Aujourd’hui, je vais vous parler de ma première rencontre avec Xavier et de ce qui en est ressorti.

Tout d’abord, nous avons fixé un objectif clair, bien défini et mesuré que je dois essayer d’atteindre d’ici un an. Dans mon cas, le 20 mai 2013. C’est la première des choses à faire avant de se lancer. C’est une sorte de feuille de route qui permet de passer à l’action de manière efficace, sans se disperser, et faire des choses vaines, qui au final, seront abandonnées. On peut bien sûr changer d’avis, se réorienter légèrement, mais globalement, il faut essayer de se tenir à ce que l’on s’est fixé.

Cet objectif, nous l’avons fixé selon la méthode S.M.A.R.T. Certains d’entre vous sont peut-être familier de cette méthode, ce qui n’était pas mon cas.

LA METHODE S.M.A.R.T ?

S comme Spécifique : Quoi ? Où ? Combien ? Il faut définir le genre de photos que l’on veut faire : mariage, portrait, lifestyle, grossesse, naissance, urbanisme, nature, fashion, corporate etc…Le lieu est en général déterminé par son lieu d’habitation dans un premier temps. Le combien rejoint un peu le prochain point.

M comme Mesurable : Il faut se demander combien de prestations on veut faire dans une année par exemple. Si c’est de la photo de mariage, combien de mariages ? Si c’est du portrait, combien de portraits ? etc…C’est aussi à ce moment qu’il faut penser argent. C’est bien d’avoir une passion, c’est génial d’essayer d’en faire son métier. Mais il faut aussi pouvoir en vivre. Alors bien sûr, c’est difficile d’évaluer ses services, comme ça de but en blanc, alors qu’on ne l’a jamais fait. Prenons le problème en sens inverse : combien souhaiteriez-vous gagner pour vivre correctement ? Décidez d’un montant mensuel, multipliez-le par 12 pour le montant annuel. Ajoutez ensuite votre évaluation des charges fixes et variables (impôts, cotisations, coût de production, assurances, matériels, logiciels, assurances, etc… ). Cela vous donnera une idée du Chiffre d’Affaire à générer.

Ce point est essentiel. Il  est important d’avoir une idée, même approximative, de combien vous voulez gagner. En France, nous avons peur de parler d’argent : c’est mal ! Arrêtons avec cette contrainte psychologique. Si vous voulez construire un business pérenne, vous devez vous fixer un but en terme de Chiffre d’Affaire (CA). Ensuite, pour le photographe, l’objectif est de proposer des photos dont le tarif correspond à la fois à la qualité des images qu’il produit mais aussi en accord au CA qu’il s’est fixé. Si votre objectif est de réaliser 100 000 EUR (c’est un exemple 😉 ) dans l’année, mais que vous facturez chaque prestation 100 EUR, il vous faudra en réaliser 1 000. Et si vous êtes seul, vous allez avoir un problème. Par contre, si vous facturez 10 000 EUR par prestation, votre objectif devient atteignable (point suivant) à condition que vos images soient q’une qualité superlative. Si vos photos sont moyennes, vos clients seront prêt à payer un « tarif moyen ». Il ne sert à rien de demander un certain prix, s’il est prohibitif par rapport à la qualité du travail fournt. Comme je le répète souvent, la QUALITE des PHOTOS est le PILIER FONDAMENTAL sur lequel vous allez vous appuyer pour construire un business. C’est pour cela qu’il faut s’entraîner sans relâche. Prendre des photos encore et encore pour repousser ses limites. Mais Reego en reparlera dans la suite de l’article (un shooting par semaine… au moins)

A comme Atteignable : Est-ce que j’arriverai à atteindre le nombre de prestations que je me suis fixé ? Est-ce trop ou pas assez ?

Par exemple, si dès la première année, un photographe de mariage se fixe comme objectif, « couvrir 50 mariages », il a peu de chance de l’atteindre 😉

R comme Réaliste : Ce point rejoint le précédent. Le nombre de prestations que je me suis fixé est-il réaliste ? Le prix l’est-il aussi ? Arriverai-je à avoir autant de clients et si oui, aurai-je le temps de tout faire ? Il faut penser aux prises de contact avec le client, certainement aller le voir pour régler des détails, préparer et effectuer la prestation, et enfin, traiter les photos, les transmettre sur un support le cas échéant.

T comme Temporellement défini : Il faut là aussi se fixer une date pour réaliser ses objectifs. 1, 6, 12 mois ? C’est à vous de décider mais je pense qu’un an est un délai raisonnable.

Si vous ne vous fixez pas de but dans le temps, vous réduisez vos chances d’atteindre votre objectif. Une date butoir a, pour moi, deux effets positifs. 1 – Elle vous oblige envers vous même, ce qui est un facteur de motivation. 2 – Vous allez pouvoir concentrer vos efforts, de façon intense, sur un temps limité, pour atteindre votre objectif. Cela va vous faire gagner en efficacité.

Voilà donc un bon début : se fixer de manière concrète un objectif auquel on essaie de se tenir, pour ne pas se disperser inutilement.

Mettez votre objectif SMART au propre sur une feuille de papier. Et chaque vendredi par exemple, re-regardez la. Ainsi, vous pouvez juger si vous avez avancé vers votre but, et rectifier la semaine suivante si besoin il y a. C’est une étape très importante, pour ne pas perdre son objectif de vue

ÊTRE PRÉSENT SUR LA TOILE ET S’ENTRAÎNER SANS RELÂCHE

Ensuite 2 missions à réaliser m’ont été demandées par Xavier. Créer un site internet qui sera ma vitrine, et faire au moins un shooting par semaine.

Mon site a rapidement été mis en ligne, même si je continue à le changer constamment. Vous pourrez le trouver à cette adresse : www.reego.fr

De nouvelles photos devraient arriver bientôt.

J’essaie aussi de me tenir à un shooting par semaine : je demande à des amis de se prêter au jeu, et si je n’ai personne, je demande à ma soeur, ma femme etc…Il est important de bien connaitre son boitier, d’effectuer rapidement des réglages et tout simplement pratiquer pour se perfectionner.

Je le rappelle, c’est FONDAMENTAL. Pas d’entraînement, pas de progrès. Pas de progrès, pas de qualité. Pas de qualité, pas de business. Pour ceux qui ont plus de temps libre, vous pouvez vous fixez comme objectif  « 1 jour, 1 photo ». C’est difficile, mais c’est très formateur. Essayez sur une période d’un mois 🙂

CRÉER SON STATUT D’AUTO-ENREPRENEUR

La dernière mission est de créer son statut AE. Pour me renseigner, je suis allé à une réunion sur ce sujet à la Chambre des Métiers et de l’Artisanat à Saint-Laurent-du-Var (près de Nice). Ils en proposent tous les mercredis matins à partir de 9h. C’est gratuit et sans inscription. Si vous êtes dans un autre département, renseignez-vous auprès d’eux pour plus de renseignements.

Attention, là aussi, le style de photo que vous voulez prendre va déterminer votre statut. Un photographe de mariage, portrait et lifestyle est considéré comme un artisan. Un photographe corporate, de magazine fashion ou faire un shooting pour une marque est considéré comme un auteur et ne peut prétendre au statut AE.

Je devrais déposer mon dossier rapidement la semaine prochaine, et je vous parlerai plus longuement de ce statut et des démarches que j’aurai effectuées.

Le statut AE est simple d’accès et de gestion. C’est idéal pour commencer son activité, mais il y a aussi des inconvénients. Nous en reparlerons

 
Objectifs Photo

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22 réflexions sur “Les premières étapes pour devenir pro avec Reego”

  1. Une feuille de route a garder près de soi !
    Il y a des points au quel je n’avez pas de réponse et là , aujourd’hui à 18h39 lol
    Tout me semble plus clair …
    Encore une fois merci 🙂

  2. L’article est très intéressant, les chiffres, je suis d’accord devrais êtres réévalués à la hausse, le statut, il se discute aussi avec les investissements mais j’en vois pas mal qui shootent avec pas grand chose… Je pense qu’on occulte le plus important, quelle démarche envisage t’on pour chercher les clients ? car sans eux, pas de photos et pas d’argent !!
    Le site c’est bien beau mais c’est aussi un investissement et avant qu’il soit bien placé, il faudra au moins 6 mois et encore… donc en attendant comment on trouve le droit de faire des photos pour gagner du chiffre ?
    Vous devrez être commercial avec d’être photographe et il vous faudra entre 3 à 5 ans avant d’avoir une image qui tienne la route et une clientèle récurrente.
    Et la concurrence ?
    J’arrête là… 😉

    1. Bonjour,
      Je suis d’accord avec toi, rien n’est simple…
      Mais combien d’heures peut facturer un photographe ?
      A combien se monte ses heures indirectes ?
      Si celui qui se lance en Auto-Entrepreneur en étant à la base non imposable garde ses prestations familiales l’année en cours, qu’en sera-t-il l’année suivante, puisqu’il aura payé des impôts forfaitairement, il ne sera donc plus « non imposable » même si la somme est minime, perdra-t’il tous ses avantages ?
      Son régime de sécurité sociale change, quand sera-t-il de sa mutuelle ?
      Pourra-t-il la garder ? Le tarif restera-t-il le même ?
      Au bout d’un temps son activité décolle et c’est le moment pour l’auto-entrepreneur de changer de statut, en Entreprise Individuelle classique les années précédentes seront-elles prises en compte ou repartira-t-il à zéro avec le risque des 3 ans ?
      Un artisan seul (plombier, électricien, etc) ne peut facturer en moyenne que 4 heures 1/2 par jour. Çà ne veut pas dire qu’il ne travaille pas mais que le restant de ses heures sont des heures indirectes et qu’elles doivent être prises en compte dans ses calculs de ses tarifs.
      Pour un graphiste on parle de 120 jours facturés par an en moyenne avec au plus 150 pour une personne surbookée et de 90 jours pour un débutant.
      Qu’en est-il pour un photographe ?
      Je rappelle qu’un salarié à plein temps travaille en moyenne 221 jours par an avec une limite de 35 heures par semaine. Il n’est pas rare de voir un entrepreneur travailler plus de 10 heures par jour sans compter ses samedi et dimanche et pourtant ces chiffres restent vrais.
      Je rappelle pour ceux qui ne le savent pas que c’est un budget analytique simplifié qu’il faut faire. Et celui-ci se calcule pour une année entière et non au mois.
      Je prévois de travailler 75% du temps en extérieur et les 25% restants en studio. Le matériel de studio devra donc être amorti sur les 25% et ne devront être imputés qu’aux coûts « studio ». Par contre les charges administratives et indirectes seront bien réparties entre ces 2 postes mais pas à 75 et 25% mais au prorata des coûts réels de ces postes. Si les coûts du studio sont plus élevés (ce qui sera sûrement le cas) une part plus grande des charges administratives et indirectes sera imparti à ce poste.
      Je sais faire un budget analytique simplifié et pourtant je n’ai pas de réponse à ce jour à ces 6 questions que j’ai énuméré en tête de ce message. Et je l’ai joué soft, la liste réelle devient impressionnante de jour en jour…

  3. bonjour
    je decouvre ton site que je trouve super avec beaucoup d info
    comme j’ai le projet de me lancer , c’est vraiment tres bien toutes tes info et toutes tes video et je t’en remercie je pense que je vais preparer mon projet sur plusieurs mois se qui me permettra de continué à progresser merci pour toutes les info que tu nous donne

  4. Bonjour.
    J’arrive sur le blog de Xavier, et je trouve cet article qui est fait pour dégrossir au maximum le calcul.
    Pour information, c’est juste une idée, car quand on veut se lancer, il faut bien réfléchir.
    Ce que j’ai fait auprès de ma CCI et se qui sent dégage:
    Statut d’AE, si vous n’avez pas besoins d’investir dans du matériel, on ne peut pas récupérer la TVA.
    Si vous compter investir, matériel et autres, Statut d’Artisan.
    De plus avec le statut d’AE, attention de ne pas dépasser le plafond.
    Je continue ma lecture de ton site et blog Xavier, et je le trouve très intéressant.
    Pour l’instant, je ne me suis pas encore lancer (problème de santé et ne peut pas me mettre AE).
    Dans un premier temps, il va falloir, comme tu l’ecris, me faire une vitrine et là, c’est une autre paire de manche. WordPress ou autres ???
    Cédric

  5. Humm, la méthode smart pour définir un objectif est très bien.
    Par contre, je rejoint les précédents commentaires concernant la précision des chiffres.
    Et en passant, en ce qui me concerne, j’ai choisi le statut d’auteur-photographe. Très simple à gérer également et plus adapté à ce que je voulais faire. Il est possible également d’avoir les 2 statuts, ae et auteur, si besoin.
    A bientôt

  6. Je pense que tout le monde va un peu trop loin. Moi je vois ici un premier article qui est la toute première étape d’une formation qui à priori durera un an. Si dès le premier article, TOUS les points sont exposés, il n’y a plus d’ étapes.
    Je pense que c’est une première approche générale et globale d’un projet. Par ailleurs, il est écrit dans l’article que le détail de l’aspect financier sera expliqué dans un prochain post.
    Je pense que tous les photographes qui veulent se lancer (comme moi) sont assez intelligents pour ne pas lire cet article et se dire « allez, maintenant je sais tout, je fonce ». Non, c’est le premier article d’une formation de un an, j’attends donc la suite du programme pour avoir, entre autres, le détail sur les calculs et charges à prendre en compte par la suite. (même si Xavier a déjà dévoilé son tableau de calcul pour satisfaire l’impatience de certains lecteurs :-))

  7. Article très intéressant, j’utilise moi-même SMART dans ma vie professionnelle « principale », soit une autre activité que la photo, une activité industrielle! Il faut que tous les objectifs soient en effet spécifiques, mesurables, etc… mais surtout que l’on ai une feuille de route mensuelle, un « reporting » pour voir rapidement les dérives et pouvoir réajuster la barre, quitte à changer certains objectifs non réalistes au bout de 6 mois par exemple…
    Pour fixer les prix, je rejoins les commentaires d’Hélène & Frédéric, et j’ajoute une question : quand tu parles de salaire net après charges AE, tu parles de net avant impôt, non? Car en statut AE, si par exemple notre conjoint gagne sa vie ou qu’on a une autre activité même à temps partiel à côté, on est parfois taxé à 14% sur les revenus de la photo, voire à 30%. Non?

  8. Je comprends cette volonté de vouloir schématiser le processus, pour les aider à fixer leurs prix. Je comprends aussi la démarche qui veut expliquer aux gens qu’il est difficile de vendre dès le début une presta chère. Mais je rejoins Hélène et Frédéric : à trop schématiser, c’est encourager à les gens à agir rapidement, sans réfléchir, à s’engager dans une voie utopique. Il faut que dans ton SMART, les objectifs financiers soient fixés avec plus de réalité, car si les gens qui lisent ça se motivent sur la base chiffrée que tu avances, beaucoup se casseront les dents car ils n’atteindront pas un minimum de rentabilité.
    Il aurait été plus juste si, pour faire simple, le calcul était basé sur la fiscalité correspondant au statut d’AE. En service, on considère que le revenu est de 50% du CA et qu’en vente (tirages, CD, livres album…) c’est 30%. Cela englobe les taxes et une partie des dépenses, et à la louche on est pas très loin de la réalité des choses. Je crois qu’il aurait été plus pertinent de partir sur cette base pour expliquer comment se fixer un objectif rentable (avant de penser salaire et renommée), cela évitera aussi certaines déconvenues à ceux qui voudraient se lancer trop vite 😉

  9. Bonjour,
    voila un premier article qui promet une suite intéressante.
    Une remarque concernant le M de SMART; je pense que les charges sont nettement sous estimées.
    Il y a effectivement les 23% lié au status d’autoentrepreneur, mais aussi des éléments comme l’amortissement du matériel photo, l’ordinateur et les logiciels, la location éventuelle d’un bureau ou d’un studio, site internet, téléphone, voiture, ASSURANCES, … qui doivent être pris en compte.
    Le CA a réaliser est donc plus élevé que les 1845 € …

    1. Bonjour Frederic. Merci pour ta remarque est ultra pertinente. En effet, il faut ensuite compter toutes les charges liées à l’activité. Mais disons que cela donne une première idée d’ensemble, imparfaite certes, mais une première idée. Pour l’heure, l’important est d’agir et de se lancer. Ensuite, nous rentrerons plus dans le détail.

    2. J’allais dire la même chose que Frédéric. C’est imparfait mais à prendre en compte et c’est super important de le prendre en compte, même pour une première approche. Le prix de ma prestation double en tenant compte des frais fixes/variables… Ca change quand même beaucoup pour quelque chose d’approximatif. ^_^

      1. Voici un outil très pratique pour ceux qui veulent calculer avec précision le CA qu’il doivent générer pour un salaire donné :
        https://www.nppa.org/professional_development/business_practices/cdb/cdbcalc.cfm
        C’est très complet, rien n’est omis. C’est un outil qui, à mon avis, s’adresse aux photographes qui ont déjà une petite expérience.
        En effet, il faut déjà avoir une idée de ce que coûte une activité de photographe fonctionnant à plein.
        Quand on se lance, l’essentiel n’est pas là. Je m’explique. Prenons un exemple : en tant que photographe de mariage, je veux gagner 2000 euros net par mois, soit 24 000 euros par an. Quand on fait le calcul précis et que l’on prend tout en compte (je vous renvoie au NAPP cost calculator) il faut générer un CA d’environ 60 000 euros. Bien sûr, là encore c’est très variable (c’est imparfait car il faudrait faire du cas par cas), mais cela donne un bonne moyenne.
        Maintenant disons que j’arrive à booker 20 mariages, ce qui là encore, est une bonne moyenne. Il faudrait que chaque mariage génère 3000 euros de CA.
        Je pose la question : quel est la probabilité de facturer ce prix lorsqu’on débute. Très faible.
        C’est pour cette raison que pour l’instant, l’essentiel est d’avoir un cap général et de lancer son activité. Attention, savoir précisément le montant de toute les charges (assurance, impôt, cotisation, amortissement, santé, retraite, matériel, logiciel, coût de production, etc…) est ultra-méga-giga important. Mais au tout début, ce qui compte, c’est d’agir.

        1. Et donc ne livrer aucun produit ? ^_^
          Même pas un cd ? C’est même pas comptabilisé.
          Je suis plutôt d’accord sur l’idée de dire que se vendre tout de suite très cher c’est compliqué.
          Par contre la manière dont c’est présenté, ça sonne comme il faut foncer et agir, sans réfléchir à fond et je ne suis absolument pas d’accord. Créer une entreprise ça ne se fait pas à la légère comme ça en prenant son salaire brut divisé par douze… Sans business plan consistant on ne sait pas où on va. Et si au final le tarif c’est le même (parce que tu peux appliquer une sorte de réduction sur ton salaire parce que tu débutes et viser moins), l’idée pour y arriver n’est pas du tout la même parce qu’on a conscience de tout ce qu’il y a à côté en faisant un vrai business plan. Et si tu le dis dans les commentaires, ça n’est pas dans le corps de l’article que je trouve trompeur. Désolée Reego. 😉

          1. Et j’ajouterais aussi que le calcul est faux. On n’ajoute pas 23% de 1500€ pour avoir son « brut ». Mais on retire 23% de son brut pour avoir 1500€ nets. Donc on divise son net par 0,77 et on arrive à 1948€ si on suit le raisonnement exposé.

  10. Article très intéressant! J’ai hâte de le lire la suite car moi aussi j’en suis à cette étape!
    Ton site internet est très chouette je trouve! Par contre, si je peux me permettre, ton logo sort du navigateur, le « Re » et « Reego Photographie » est coupé (sur un portable de 15″), il faudrait le décaler un peu sur la droite (à moins que ce ne soit voulu ?) 🙂
    Bon courage pour la suite!

    1. Bonjour Carole. Merci de ton commentaire mais c’est bizarre parce que sur mon portable 15″ aussi, tout va bien en plein écran sur chrome, firefox et safari.
      J’ai l’impression que le theme étant « responsive design », les éléments s’ajustent automatiquement selon la taille de la fenêtre du navigateur…

  11. Merci pour ce chouet article et toutes ces infos !!
    Moi qui me trouve aussi à ce carrefour, je voudrais bien que tu puisses me dire par quoi/ qui tu es passé pour faire ton site ..
    Très bonne continuation,

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